Rien ne semble pouvoir stopper l’ascension d’Aya Nakamura.
Après ses deux tubes sortis cet été, Djadja et Copines, extraits de son nouvel album « Nakamura » dévoilé le 2 novembre dernier, l’artiste a récemment été interviewée pour la revue musicale et culturelle américaine The Fader.
En effet, Aya Nakamura semble amorcer une belle carrière qui ne se restreint pas aux frontières françaises.
Pour preuve, Djadja s’est hissé en tête des charts aux Pays-Bas pendant 2 semaines cet été. Ce qui n’était pas arrivé depuis Edith Piaf.
Aujourd’hui, elle attire l’attention des journalistes outre atlantique. Dans l’article du Fader, (le « Curseur » en français), Aya est présentée comme « The French-Malian singer ». Des origines qu’elle est fière d’arborer, qui forgent une partie de son succès, auprès de jeunes filles qui peuvent se reconnaitre en elle. Mais l’artiste a le mérite de toucher bien plus qu’une communauté, son titre Djadja est l’un des plus populaires du moment encore aujourd’hui. Il est le 46ème des 100 morceaux les plus écoutés au monde.
Au cours de cette interview, Aya expose son parcours, évoque sa réussite, la manière dont cela a pu ou non modifier son quotidien. Elle affirme continuer à amener sa fille à l’école maternelle, « tous les jours, comme tous les parents ». Elle sait garder les pieds sur terre donc.
La belle admet aussi une réalité moins rose, moins idyllique. « Je ne veux pas me plaindre mais je ne vais pas mentir non plus. C’était difficile pour moi d’arriver ici et c’est difficile de réussir pour une femme noire dans cette industrie ».
Pour retrouver l’intégralité de l’interview, c’est ici
Discussion about this post